Avec le trublion Nicolas Cante, le piano se montre sous toutes ses formes et se pare de tous les prismes. Entre l’ivoire et le noir des touches, c’est 50 nuances de couleurs qui apparaissent, d’idées en projets, de compagnons de routes en expérimentations qui déroutent. « En la selva numerica » il accompagne la chanteuse colombienne Violeta Ocampo, dans une forêt de dance-floors où cohabitent une luxuriante électro sexy-latino et quelques plans de cumbias exotiques. Un cocktail suave et hypnotique…